LA SUISSE,
COFFRE-FORT
D’HITLER
Par quel subterfuge le IIIe Reich a-t-il pu financer sa machine de guerre en action dès l’accession d’Hitler au pouvoir ? A l’heure où ses armées envahissent la Pologne, les caisses sont vides. Débute alors une vaste razzia dans les pays conquis.Les nazis pillent l’or, les œuvres d’art, les fonds des banques centrales ; bijoux et dents en or des juifs raflés partout en Europe viennent grossir le butin. Il faut alors changer ces valeurs colossales et acquérir les matières premières qui font défaut pour alimenter la machine de guerre. Au cœur du continent, voisin du géant allemand, la Suisse. Le petit Etat prétendument neutre, va jouer le rôle de bureau de change du IIIe Reich, lui garantissant les devises nécessaires à l’acquisition des matières premières pour ses usines d’armement. Comment cette histoire méconnue a-t-elle émergé ? Quels archives et documents prouvent l’implication de la Suisse dans la poursuite de la guerre ? Qui sont ceux qui ont mis à jour la lourde responsabilité de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale ?